Freine pas si vite

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Solo de cirque poétique et burlesque par Guilhem Dumont
Création 2016, durée 1h10, Tout public.
 
Conception et jeu Guilhem Dumont
Mise en scène et direction d’acteur Nicolas Pichot
Technicien plateau Josselin Dufour
Création musicale Christophe Jullian (Mario)
Création vidéo François Berdeaux
Création lumières Marion Alsina
Création costumes Karine Trélon
Scénario film animation Jacopo Faravelli
Chargée de production Rosalie Lupieri
Production Le Poing de singe
Co-production Cirko.
 
Avec le soutien de la SPEDIDAM pour la création musicale.
LA SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées.

 

 


Le Spectacle

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Un lieu sans âge, un grenier ou une maison abandonnée, on distingue des formes, des caisses ou de vieux objets recouverts d’un drap, d’une couche de poussière centenaire…
Sous lesquels se tapissent des souvenirs esseulés ou abandonnés…
Soudain, l’une de ces formes s’anime et prend vie, pantin, marionnette ou mannequin pris de l’irrésistible envie de se mouvoir…
 
Sans nous y attendre, nous voici happés au cœur du monde imaginaire de ce personnage, il nous entraine aux grès de ses aventures à la découverte de l’espace qui l’entoure.
Ce clown-magicien nous invite à travers ses étranges péripéties à plonger au fond de la mer, grimper au sommet de gratte-ciel, jubiler devant un show cabaret, pédaler à ses côtés dans une course de vélo effrénée, partir en apesanteur,…
 
De la découverte, de l’émerveillement, né l’envie puis l’action et le mouvement.
Comment se mouvoir, dompter son corps, tester les limites de l’équilibre, manipuler les objets, explorer l’espace horizontal et vertical ?
L’exploit de cirque se retrouve détourné à travers les performances acrobatiques, le lancé de couteau, les contorsions du corps dans l’espace, et les équilibres précaires testant les limites du point de chute…
 
Soutenu par une étrange musique électronique et entremêlé de projection vidéo, ce spectacle improbable nous plonge dans une course effrénée hors du temps où chacun emportera avec lui l’image d’un souvenir d’enfant. »


Freine pas si vite

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Le nom du spectacle fait référence au titre des courts métrages de Jacques Tati, « L’école des facteurs », « Soigne ton gauche », …
Dans certains de ses titres il utilise le verbe à l’impératif comme un conseil ou une action, ce qui a donné « Freine pas si vite ».
L’univers décalé, simple et drôle de ses courts métrages inspire la scène de la course de vélo dans le spectacle…